Ensemble de renforcement musculaire

avec l'éléctrothérapie fonctionnelle

Une fondation solide pour votre rétablissement et vos capacités musculaires

Chez SET, nous utilisons l’électrothérapie fonctionnelle afin de soutenir votre rétablissement et améliorer vos capacités musculaires, que vous soyez en convalescence d'une blessure, en préparation ou en récupération d'une intervention chirurgicale, ou que vous cherchiez à optimiser votre condition physique pour le sport


Nos solutions personnalisées en renforcement musculaire

Notre approche individualisée est aussi unique que vous.

Notre offre :

  • Achat de votre ensemble: La première étape est de vous procurer l'ensemble de renforcement musculaire.
  • Éducation thérapeutique sur mesure : Suivant votre achat, vous serez invité à programmer un appel pour une éducation personnalisée sur votre appareil, combinant les meilleures stratégies d'électrothérapie avec un accompagnement d'un expert en électrothérapie, pour adresser votre renforcement musculaire de manière ciblée.
  • Accompagnement continu : La clé de notre succès réside dans l'accompagnement continu. Nos experts en électrothérapie fonctionnelle vous guident à chaque étape en s'ajustant progressivement à vos besoins en fonction de vos progrès.


IMPORTANT

Afin de profiter de l’éducation thérapeutique offerte avec votre appareil en réadaptation musculaire, il est essentiel de nous fournir la recommandation de votre professionnel traitant en physiothérapie ou la prescription de votre médecin, incluant le diagnostic, l’objectif et le muscle à traiter.


Ce que vous obtenez avec notre ensemble de renforcement musculaire:

  • Augmentation de la force musculaire : Suite à une blessure musculosquelettique ou en présence d'atteintes neurologiques, nous ciblons le renforcement spécifique des muscles affectés.
  • Amélioration de l'amplitude articulaire : Nos programmes visent à étendre ou maintenir votre flexibilité et mobilité articulaire, essentielle à une récupération complète.
  • Facilitation de la rééducation musculaire : Nous employons des techniques optimales pour rééduquer et faciliter le mouvement, renforçant ainsi les muscles et les fonctions nécessaires à la vie quotidienne.
  • Avantage pour les sportifs : Réduisez le risque de rechute après une blessure grâce à une approche ciblée sur un retour au sport sécuritaire et efficace.

Notre engagement : un accompagnement personnalisé

Ce qui nous distingue, c'est notre engagement à vous fournir un accompagnement sur mesure.


Notre équipe de professionnels est dédiée à vous offrir un soutien continu et personnalisé. En plus de vous offrir des conseils tout au long de votre utilisation, nous vous accompagnerons et collaborerons avec votre professionnel de la santé traitant afin d’ajuster correctement les paramètres de votre appareil à votre condition.


  • Des conseils adaptés : Bénéficiez d'un accompagnement expert, adapté à votre situation pour une utilisation optimale de nos outils.
  • Une collaboration étroite avec les professionnels de santé : Nous collaborons avec votre professionnel de santé pour adapter les approches à vos besoins spécifiques.
  • Un soutien continu : Notre service d'accompagnement à vie vous assure un suivi constant pour maximiser les bienfaits sur votre condition.

Questions fréquemment posées

  • Qu'est-ce que l'électrothérapie fonctionnelle ?

    L'électrothérapie fonctionnelle est une modalité de traitement qui utilise des courants électriques pour stimuler les muscles et les nerfs, favorisant ainsi la gestion de la douleur, la rééducation musculaire, et l'amélioration de la fonction physique. Notre approche unique place le patient au centre de sa gestion de la douleur, en utilisant l'électrothérapie comme un outil parmi un ensemble de solutions pour son retour à la fonction optimale.

    Button
  • Quels sont les principaux avantages de l'électrothérapie fonctionnelle ?

    Les avantages incluent la gestion efficace de la douleur, l'optimisation de la fonction musculaire, l'amélioration de la circulation sanguine et l'accélération du processus de guérison. Ces bénéfices contribuent à une meilleure qualité de vie pour les patients et une récupération optimale.

    Button
  • Comment l’électrothérapie stimule-t-elle l’activité musculaire ?

    L'électrostimulation neuromusculaire est un courant sécuritaire, qui pénètre la peau pour atteindre le muscle visé et ainsi déclencher une contraction. Ce type de courant peut contribuer à prévenir l’atrophie, rééduquer des déséquilibres musculaires, faciliter l’amélioration des qualités musculaires ainsi que plusieurs autres indications.

  • L'électrothérapie est-elle sûre pour le renforcement musculaire ?

    Oui, l'électrothérapie est une méthode sûre pour le renforcement musculaire sous supervision professionnelle. Elle permet un renforcement ciblé sans surcharger les articulations, idéal pour la rééducation ou lorsque les exercices traditionnels ne sont pas possibles. Toutefois, des contre-indications existent pour certains cas, d'où l'importance d'un accompagnement professionnel pour assurer sécurité et efficacité.

  • Combien de temps faut-il pour voir des résultats avec l'électrothérapie pour le renforcement musculaire ?

    Le délai pour observer des résultats significatifs avec l'électrothérapie dans le cadre du renforcement musculaire peut varier en fonction de plusieurs facteurs, tels que la fréquence et la régularité des séances, l'intensité des traitements, ainsi que la condition physique initiale de l'individu. 


    Généralement, les utilisateurs commencent à percevoir des améliorations dans la force et le tonus musculaires après quelques semaines de traitement régulier. Pour des résultats optimaux, il est recommandé de suivre un programme d'électrothérapie personnalisé et de l'accompagner d'un programme d'exercices personnalisé , conçu en fonction des besoins spécifiques de chaque personne.

  • Puis-je utiliser l'électrothérapie à la maison pour le renforcement musculaire ?

    Oui, l'électrothérapie à domicile pour le renforcement musculaire est encouragée chez SET, permettant une gestion autonome de votre bien-être. Nos dispositifs et programmes sont conçus pour des séances efficaces et sécuritaires chez vous, offrant flexibilité et soutien professionnel continu pour optimiser vos résultats en autonomie.

  • Quelle est la différence entre l'électrothérapie et les entraînements musculaires traditionnels ?

    L'électrothérapie stimule les muscles par des impulsions électriques pour provoquer des contractions, ciblant des groupes musculaires spécifiques sans stress sur les articulations, idéales pour la rééducation. Les entraînements traditionnels utilisent des exercices physiques pour renforcer les muscles, améliorant aussi coordination et endurance. Les deux méthodes sont complémentaires, l'électrothérapie étant particulièrement bénéfique pour la rééducation et les entraînements traditionnels pour un renforcement général.

  • Comment intégrer l'électrothérapie dans un programme de renforcement musculaire ?

    Pour intégrer l'électrothérapie dans un programme de renforcement musculaire, il est recommandé de collaborer avec un professionnel, comme un physiothérapeute, pour créer un plan personnalisé. Ce plan peut inclure l'électrothérapie pour la préparation musculaire, la récupération post-effort, ou le renforcement ciblé, favorisant ainsi des résultats optimaux tout en minimisant les risques de blessure.

Utilisez notre service de clavardage, envoyez-nous un message ou appelez-nous sans-frais pour une assistance du lundi au vendredi de 9h à 17h

Besoin de discuter avec un spécialiste?

Découvrez des ressources additionnelles

Magazine SET

par Hélène Lamoureux 3 juin 2025
Imaginez vivre avec une douleur constante. Elle ne vous quitte jamais tout à fait. Parfois sourde, parfois vive, elle colore vos journées et hante vos nuits. Ce mal persistant vous empêche de bouger comme vous le voudriez, de travailler, de dormir, ou simplement de profiter d’un moment calme. Avec le temps, vous devenez plus fatigué, plus irritable, plus replié. Vous vous sentez seul, découragé, parfois même incompris. Et si ce n’était pas juste la douleur… mais tout ce qu’elle entraine autour? Ce scénario, qui est loin d’être rare, reflète le quotidien de nombreuses personnes aux prises avec la douleur chronique. Ce qui est moins souvent reconnu — même dans les milieux de soins — c’est à quel point la santé mentale et la douleur physique s’entrelacent. Elles interagissent, se nourrissent, et parfois, s’entremêlent dans un cercle vicieux difficile à briser. Ce lien entre douleur chronique et troubles de santé mentale comme l’anxiété, la dépression ou le stress post-traumatique est aujourd’hui largement documenté. Pourtant, comme le soulignent Bhatt et ses collègues (2024), « il n’y a souvent aucune reconnaissance explicite du rôle des comorbidités et de la relation bidirectionnelle entre la santé mentale et la douleur. » Les comorbidités désignent la présence simultanée de plusieurs troubles de santé qui peuvent interagir et se renforcer mutuellement. Dans ce cas précis, cela fait référence à la coexistence de la douleur chronique et des troubles mentaux. Cela signifie que, même lorsque les deux problèmes sont présents, ils sont souvent traités séparément, comme s’ils n’étaient pas liés. Et pourtant… La douleur chronique augmente le risque de développer des troubles dépressifs, anxieux ou de sommeil. Une mauvaise santé mentale, elle, peut amplifier la douleur, diminuer la tolérance physique et émotive, et nuire aux traitements. Ensemble, elles peuvent affaiblir la motivation, réduire la mobilité, altérer les relations sociales, et même compromettre le maintien en emploi. Cette combinaison, que l’on peut appeler double fardeau, est bien plus qu’une addition de symptômes : c’est un état de vulnérabilité prolongé qui demande une attention urgente. Une double peine encore trop peu reconnue Cette combinaison de douleur chronique et de détresse psychologique est souvent invisible pour l’entourage — et malheureusement aussi pour les systèmes de soins. Trop souvent, les approches thérapeutiques sont cloisonnées : d’un côté, on traite la douleur physique, de l’autre, les troubles de l’humeur, sans pont entre les deux. Pourtant, les données sont claires : ces problèmes ne sont pas juxtaposés, ils sont interconnectés. Par exemple, les personnes vivant avec un trouble bipolaire ont deux fois plus de risque de souffrir de douleur chronique que la population générale (Nicholl et al., 2014). Ces personnes sont aussi plus à risque d’exclusion sociale et professionnelle. D’ailleurs, les personnes touchées par cette double réalité contribuent à elles seules à des taux plus élevés d’absentéisme (être souvent en arrêt de travail) et de présentéisme (être au travail mais avec une efficacité diminuée). Malgré cela, comme le souligne Bhatt et al., « la douleur n’est pas normalement évaluée chez les personnes ayant des troubles de santé mentale », et l’inverse est aussi vrai : de nombreuses personnes souffrant de douleur chronique vivent avec une détresse psychologique non diagnostiquée, non reconnue… et donc non traitée. Quand la douleur et le stress deviennent nuisibles Mais que se passe-t-il lorsque ces réactions surviennent trop souvent ou persistent ? Au départ, la douleur nous aide à éviter le danger. Mais lorsque la douleur devient chronique, elle perd son rôle protecteur et devient un problème en soi. Imaginez un peu : la douleur qui ne cesse de revenir, même sans raison apparente, finit par envahir notre quotidien. Elle peut entraîner une fatigue intense, des troubles du sommeil, et nuire à notre humeur. Le stress, lui, peut également devenir néfaste. Si un stress aigu peut nous motiver à affronter une situation difficile, un stress prolongé peut perturber notre santé physique et mentale. Il affaiblit notre système immunitaire, provoque de l'anxiété, et peut mener à des problèmes de concentration ou de dépression. Le stress chronique est un véritable piège : il transforme un mécanisme de survie en un fardeau permanent. Quand on ne traite qu’un côté de l’équation En ignorant une des deux dimensions — mentale ou physique —, on risque des échecs thérapeutiques répétés. Un plan d’intervention qui mise uniquement sur l’activité physique, sans tenir compte d’un état dépressif, peut être mal reçu ou difficile à suivre. À l’inverse, une thérapie psychologique qui néglige une douleur persistante et invalidante peut sembler déconnectée de la réalité vécue par la personne. Ce constat peut sembler décourageant, mais il ouvre aussi la voie à des solutions. Des pistes pour sortir du cercle vicieux Briser la spirale entre douleur et santé mentale n’est pas simple, mais c’est possible. Et surtout : ce n’est pas qu’une affaire de volonté individuelle. C’est un défi collectif, clinique et sociétal. Voici quelques leviers concrets qui peuvent faire une réelle différence. 1. Penser en termes d’interactions, pas de compartiments La première étape est de reconnaître explicitement le lien entre douleur et santé mentale. Cela veut dire former les professionnels de la santé à poser les bonnes questions, à aborder les sujets sensibles sans jugement, et à utiliser des outils qui tiennent compte de l’ensemble de la personne. Par exemple, des outils à valeur pronostique qui permettent aux cliniciens en réadaptation d’identifier les facteurs biopsychosociaux qui influencent le rétablissement, y compris l’humeur, la motivation, la peur du mouvement ou le soutien social. (Tousignant-Laflamme et al., 2023) 2. Favoriser les soins intégrés et interdisciplinaires Les soins les plus efficaces sont souvent ceux qui réunissent plusieurs perspectives : la physiothérapie, la psychologie, la médecine, le travail social, etc. Ensemble, ces approches permettent d’intervenir à la fois sur le corps, le vécu émotionnel et le contexte de vie. C’est ce qu’on appelle l’approche biopsychosociale, qui vise à comprendre comment ces trois sphères interagissent chez chaque personne. Elle est particulièrement pertinente pour les gens vivant avec une douleur chronique, car leur situation ne se résume ni à une blessure, ni à un trouble mental isolé. 3. Encourager des stratégies concrètes et accessibles Des interventions simples peuvent avoir un impact significatif sur le bien-être, surtout lorsqu’elles sont accompagnées et personnalisées : Exercice physique graduel et adapté Programmes de conscience corporelle (yoga, Tai Chi, respiration) Activités de relaxation ou de pleine conscience Thérapies cognitivo-comportementales pour mieux gérer la douleur et les émotions Éducation sur la douleur , pour démystifier et reprendre du pouvoir d’agir Ces approches sont encore sous-utilisées, souvent à cause du manque de formation ou de ressources, mais elles sont soutenues par la littérature scientifique. 4. Lutter activement contre la stigmatisation Trop souvent, les personnes vivant avec des douleurs chroniques ou des troubles psychologiques se sentent jugées, ignorées ou banalisées. Cette stigmatisation empêche de demander de l’aide ou d’avoir accès à des soins adéquats. (Roughan et al., 2021) Des campagnes de sensibilisation, des formations pour les intervenants et des témoignages de personnes vivant ces réalités peuvent briser l’isolement et favoriser une culture de soins plus humaine. 5. Reconnaître l’importance des rôles sociaux et du travail Le travail n’est pas qu’un moyen de gagner sa vie : il contribue à l’identité, à l’estime de soi et au lien social. Bhatt et al. rappellent que de bonnes conditions de travail peuvent avoir un effet protecteur sur la santé mentale, même en présence de douleur. Cela suppose de soutenir le retour progressif au travail, d’adapter les tâches si nécessaire, et de valoriser les autres rôles sociaux de la personne (parent, proche aidant, bénévole…). (Bhatt et al., 2024) Un regard plus large, une réponse plus humaine La douleur chronique n’est pas qu’un symptôme physique. Et la détresse psychologique ne se soigne pas uniquement par la parole. Ce sont des réalités complexes, enracinées dans le vécu, le corps, le contexte de vie. Vouloir traiter l’un sans l’autre, c’est risquer d’échouer. Mais reconnaître leur interaction, c’est ouvrir la porte à des soins plus complets, plus justes, plus efficaces. Références: · Bhatt, K., Palomares, A. C., Jutila, L., Rohde, I., Forget, P., & Societal Impact of Pain Platform (SIP). (2024). The pain and mental health comorbidity. Epidemiology and Psychiatric Sciences, 33, e46. https://doi.org/10.1017/S204579602400057X · Nicholl, B. I., Mackay, D., Cullen, B., Martin, D. J., Ul-Haq, Z., Mair, F. S., Evans, J., McIntosh, A. M., Gallagher, J., Roberts, B., Deary, I. J., Pell, J. P., & Smith, D. J. (2014). Chronic multisite pain in major depression and bipolar disorder : Cross-sectional study of 149,611 participants in UK Biobank. BMC Psychiatry, 14, 350. https://doi.org/10.1186/s12888-014-0350-4 · Roughan, W. H., Campos, A. I., García-Marín, L. M., Cuéllar-Partida, G., Lupton, M. K., Hickie, I. B., Medland, S. E., Wray, N. R., Byrne, E. M., Ngo, T. T., Martin, N. G., & Rentería, M. E. (2021). Comorbid Chronic Pain and Depression : Shared Risk Factors and Differential Antidepressant Effectiveness. Frontiers in Psychiatry, 12, 643609. https://doi.org/10.3389/fpsyt.2021.643609 · Tousignant-Laflamme, Y., Houle, C., Longtin, C., Gérard, T., Lagueux, E., Perreault, K., Beaudry, H., Tétreault, P., Blanchette, M.-A., & Décary, S. (2023). Prognostic factors specific to work-related musculoskeletal disorders : An overview of recent systematic reviews. Musculoskeletal Science and Practice, 66, 102825. https://doi.org/10.1016/j.msksp.2023.102825
par Hélène Lamoureux 30 mai 2025
La douleur et le stress: deux alliés pouvant devenir des ennemis
par Annie Bélanger 30 avril 2025
La réadaptation après une blessure ou une chirurgie du ligament croisé antérieur (LCA) peut représenter un défi majeur pour les professionnels de la santé, qui doivent aider les patients à restaurer rapidement la force musculaire et la fonction du genou.
par Annie Bélanger T.Phys., DESS en pratique de la réadaptation 27 mai 2024
Vous souffrez de douleur au bas du dos? Les douleurs lombaires, aussi connues sous le nom de lombalgies, sont un problème musculosquelettique courant et récurrent tout au long de la vie.  En effet, jusqu'à 84 % des individus pourraient connaître une douleur lombaire, et environ 55 % auront au moins 10 épisodes douloureux au cours de leur vie.
incontinence urinaire
par Annie Bélanger T.Phys., DESS en pratique de la réadaptation 11 mars 2024
Cet article explore l'incontinence urinaire post-accouchement, un problème fréquent mais souvent tabou parmi les femmes actives. Malgré l'efficacité relative des exercices de Kegel, plusieurs femmes ne les réalisent pas correctement, ce qui peut aggraver la situation. La consultation d'un professionnel en physiothérapie pelvienne est cruciale pour une rééducation adéquate. Cet article met également en lumière comment l'électrothérapie à domicile, en complément de la rééducation professionnelle, peut offrir une solution innovante pour améliorer la qualité de vie des femmes confrontées à ce défi, soulignant l'importance d'une approche bien guidée et personnalisée.
par Annie Bélanger T.Phys., DESS en pratique de la réadaptation 2 mai 2023
Diverses raisons peuvent entraîner une patiente à consulter en rééducation pelvi-périnéale. Parmi celles-ci, les plus fréquentes sont : une gêne associée à un prolapsus des organes pelviens (POP), une incontinence urinaire à l’effort ou par urgenturie, des douleurs lombaires ou sacro-iliaques ou simplement afin de reprendre contrôle du périnée et s’assurer d’une reprise graduelle des activités sportives en postpartum.
par Annie Bélanger T.Phys., DESS en pratique de la réadaptation 23 juin 2020
Depuis l'avènement du télétravail, exacerbé par la pandémie, les professionnels font face à un défi majeur : maintenir une ergonomie de travail optimale à domicile.